Je m’appelle Sabrina (alias Casca) et j’ai créé le site Mon Essentiel pour partager avec toi et tous ceux qui voudront bien me lire, plein de contenus sur des sujets qui me tiennent à cœur comme le développement personnel, l’écologie, la spiritualité, la protection animale, le bien-être, les relations humaines et le mieux-vivre.
Je propose également de t’accompagner dans ton cheminement et développement personnel par le biais de formations, de vidéos ou de séances de coaching.
La porte du changement ne peut s’ouvrir que de l’intérieur et toi seul en a les clés, mais ensemble nous allons faire en sorte d’ouvrir toutes les portes.
Ensemble, nous allons faire en sorte que tu puisses marcher vers toi et concrétiser tous les changements que tu souhaites opérer dans ta vie .
J’ai la conviction que nous avons tous en nous une lumière qui ne demande qu’à briller.
Quand tout à commencé
Depuis que je suis enfant, je me suis toujours sentie en décalage avec les autres. J’avais l’impression d’être un alien ou une pièce rapportée.
Où que j’aille, quoi que je fasse, je ne me sentais jamais à ma place.
Considérée aux yeux de la société comme une hypersensible, depuis mon plus jeune âge, j’ai toujours été très sensible aux émotions des autres.
Telle une éponge, j’absorbe leurs émotions et si je ne fais pas attention, si je me laisse dé déborder, je me retrouve très vite happée et submergée par leurs énergies au point de ne plus pouvoir distinguer mes émotions des leurs et ne plus pouvoir entendre ma petite voix intérieure.
C’est ce qui fait que je sature et que je me fatigue très rapidement dès que je me retrouve dans des lieux publics remplis de monde, en groupe ou dans des centres commerciaux.
Pour chaque heure passée avec ma famille, mes amies ou de parfaits inconnus, il m’en faudra deux seule.
Si aujourd’hui, à 39 ans, je parviens enfin à comprendre mon mode de fonctionnement, à me donner de l’espace et à accepter ce que je suis sans culpabiliser grâce au travail intérieur que j’ai fait sur moi, cela n’a pas toujours été le cas.
Pendant longtemps, j’ai vécu dans la crainte des autres et le harcèlement que j’ai subi au collège ne m’a pas aidé.
C’était d’autant plus frustrant que je ne parvenais pas à lire en moi et que je ne comprenais pas ce que j’avais.
Je me sentais d’autant plus mal que je me heurtais aux regards des autres, qui ne me voyaient que comme une bizarrerie.
A force de me faire marteler par leur jugement, j’ai fini par penser la même chose à mon sujet.
Absorbée par les gens et leurs émotions, positives ou négatives, j’ai fini par me perdre et ne plus savoir qui j’étais, ce que je voulais ni même ce qui me définissait.
À force d’absorber les émotions des autres, j’étais devenue personne et tout le monde à la fois.
J’étais comme être une boîte vide remplie de bazar qui ne m’appartenait pas.
Je passais de l’euphorie à la joie sans savoir pourquoi et, si on me demandait ce que je voulais faire, je répondais toujours la même chose que la personne en face de moi.
La situation était d’autant plus difficile à gérer que mon hypersensibilité s’entremêlait à mes complexes d’adolescent et mes soucis d’intégration à l’école, ce qui faisait que je ne me laissais plus vraiment de chance pour exister.
Après avoir vécu pendant des années sous l’égide des conditionnements de notre société et d’une éducation bien normée, je me suis retrouvée à 30 ans plus perdue que jamais avec un sentiment de vide.
J’avais un chat, une petite maison, un adorable petit copain, un abonnement Netflix, cependant, malgré tout ce que je possédais, j’avais l’impression d’être passée à côté de l’essentiel… de moi.
J’avais tous les fondamentaux et possessions que la société préconisait pour assurer mon bonheur, mais malgré tout cela, je me sentais plus mal que jamais.
Comme beaucoup de gens, j’ai commencé d’abord à culpabiliser, avant d’entrer dans une phase de déni.
Parce que l’être humain ne peut ignorer longtemps les cris de son cœur qui finissent par le ronger à la fois intérieurement et extérieurement s’il continue de ne pas les écouter, j’ai fini par imploser et entrer en dépression.
Je me refusais d’admettre que ce que j’avais construit durant des années ainsi que tous ces petits détails qui me rassuraient tant, je devais y mettre un terme..
Assimilant d’abord cette prise de conscience à un gaspillage de temps et de vie, il m’a fallu du temps avant de me confronter à moi-même.
A force de mal-être, j’ai fini par lâcher prise, me lâcher la main et toucher le fond.
Épuisée, dans un ultime élan de survie j’ai décidé qu’il était temps d’écouter tout ce que cette petite voix intérieure avait à me dire.
Inutile de vous dire qu’ elle avait beaucoup à me dire …
J’ai pris alors la décision de casser le cercle et de prendre une année sabbatique pour partir au Japon afin de me retrouver, ou plutôt de faire enfin connaissance avec moi-même.
C’est durant mon périple et ce voyage initiatique que j’ai appris que la vraie intelligence n’était pas de tout savoir sans se poser de questions, mais d’avoir la capacité de remettre en question tout ce que je pensais savoir.
J’ai alors passé mon temps à tout déconstruire et gommer tout ce que l’on m’avait inculqué (croyances limitantes, conditionnements, éducation) pour repartir à zéro tel un nouveau né.
Une fois que tout à été nettoyé, tout est enfin devenu clair et c’est à ce moment-là que j’ai pu enfin faire connaissance avec moi-même et découvrir ma future vocation.
Enfin, je dirais plutôt que la vocation que j’avais toujours portée en moi et pour laquelle je savais inconsciemment que j’étais faite, s’est rappelée à mon bon souvenir.
Ayant toujours été passionnée par la compréhension de ce qui m’entoure, de l’être humain, de nos modes de pensée, de la nature, de la spiritualité et de l’univers, je me suis lancée dans une quête frénétique de l’apprentissage.
On peut dire que je suis morte et que je suis née au Japon.
C’est dans ce pays que j’ai tout perdu (ma vie d’avant, l’homme que j’aimais, mon travail) mais dans lequel j’ai trouvé un trésor qui n’avait pas de prix, ma lumière.
C’est ce jour là que j’ai appris qu’une naissance était à la fois une douleur et une joie.
Un nouveau départ
Après avoir suivi pendant des années l’autoroute de la sans conviction et vécue une vie de détail aussi normée et standardisée qu’un meuble Ikea, j’ai décidé de sortir des sentiers battus, de casser le cercle, de tout gommer et de tout recommencer pour suivre mon propre cheminement.
A mon retour de congé sabbatique, forgée par un tout nouvel état de conscience, j’ai suivi plusieurs parcours de formations professionnalisantes pour me reconvertir en tant que coach en développement personnel.
Après avoir étudié la communication, le web et la gestion de projet et travaillé pendant plus de 10 ans dans la coordination de projet, le support et la formation, j’ai réalisé que ma véritable voie n’était pas celle tracée par mon CV ou mon bac+5 en gestion de projet qui tendaient à me catégoriser ou à me faire entrer dans une case en me collant sur le front une étiquette.
Non, ma véritable voie était celle de mon cœur !
Je voulais accompagner les gens dans leur cheminement et développement personnel.
Je voulais les aider à se retrouver et faire enfin connaissance avec eux-mêmes.
Je voulais les aider à vivre mieux, plus simplement et sainement en accord avec leur cœur.
A partir du moment où j’ai accepté de vivre en étant alignée avec mon intériorité, mes convictions et mon cœur, ma vie a commencé à prendre un tournant radical.
C’est alors que j’ai commencé à accompagner des personnes dans leur cheminement pour les aider à dépasser leurs blocages et trouver leur voie.
Je le fais alors gratuitement, parce que l’appel du cœur est tel que je ne peux faire autrement.
Suite à cela, toujours guidé par mon intuition et mon cœur, j’ai créé mon site “Mon Essentiel”, ma chaîne Youtube, mon compte Instagram et mon compte TikTok.
J’ai commencé à écrire et publier des contenus qui me tenaient à cœur à ceux qui voudraient bien me lire.
Si tu veux en savoir plus sur mon coeur et les valeurs qui m’animent, n’hésites pas à consulter ma section “Éthique et Charte de conduite“
